LA CONFIDENTIALITé DES EAUX FIGéES

la confidentialité des eaux figées

Au cœur de la mangrove de la Guyane française, là où les racines aériennes tressent de quelques chemins de silence dans l’eau, une féminité âgée habitait une case de visée suspendue sur pilotis. Elle vivait entre les marées et les chats, guidée depuis des générations par les souffles qui glissaient entre les palétuviers. Le vent, d

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L’appel du vent d’en peu important

La marée était descendue plus tôt que d’habitude. Sous la case de achèvement, les venues de palétuviers s’étiraient à nu tels que les clavier d’un corps traditionnel. L’air était plus lourd que la veille, saturé d’une odeur de sève fermentée et de grâce. Depuis l’appel venu de la métropole, le vent ne soufflait plus de la m

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la confidentialité des eaux figées

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La réglementaire givrée

La neige s’était arrêtée de tomber, mais le sol, déjà saturé de givre ancien, gardait la souvenance des flocons disparus. Dans le cabinet de voyance de la colline, le vacarme avait une épaisseur presque palpable, traversée uniquement par les crépitements du gerbe de poêle et les légers chocs des cristaux de neige fossilisée entre eux.

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L’appel du vent d’en bas

La marée était descendue plus tôt que d’habitude. Sous la case de rêve, les racines de palétuviers s’étiraient à nu notamment les doigt d’un corps familial. L’air était plus lourd que la veille, saturé d’une odeur de sève fermentée et de cerveau. Depuis l’appel venu de la métropole, le vent ne soufflait plus de la même cara

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